
Le moi, est un trop vieil enfant.
Sous les charmes du temps il se voile, se grime, se masque et ne se reconnaît pas.
Il pense, et pense, et pense …en se contemplant…
Sur le livre du temps, il écrit ce qu’il croit, ce qu’il pense et pourtant ne comprend pas.
De marge en marge, ici ou là, s’étirent, se griffent, grimacent, se mordent, s’étalent, s’enlacent, des mots d’hier, des mots du jour, des mots douleur, des mots fièvre, des mots d’ardeur, des mots électriques.
Aussi des mots de feu, des mots lumière…
Des mots d’amour, mots de tendresse,
Des mots de douceur,
Mots de satin, mots de soie.
Papiers et plumes en mains, rudes ou lisses, les mots s’échappent, les paroles roulent, les phrases s’insinuent. Des maux se préparent, se glissent aux replis du corps qui peine et souffre dans la fournaise d’âpres malaises, tous forgés, par les mots.
Tant de mots épais, si lourds, si laids, si dérangeants,
Ou si petits, si frêles, si déroutants.
Parfois des mots si beaux, si grands, si puissants…
Les mots du cœur vivant,
Du vrai, du véritable enfant
Qui doucement, tranquillement,
Lettre après lettre, dessine
L'Idée, les stances du Verbe,
Du créateur de la ronde des mondes,
De la danse éternelle et infinie de La Vie.
Pour que les maux s’allègent, pour que les maux s’épuisent, que les corps s’illuminent,
Sous les charmes du temps il se voile, se grime, se masque et ne se reconnaît pas.
Il pense, et pense, et pense …en se contemplant…
Sur le livre du temps, il écrit ce qu’il croit, ce qu’il pense et pourtant ne comprend pas.
De marge en marge, ici ou là, s’étirent, se griffent, grimacent, se mordent, s’étalent, s’enlacent, des mots d’hier, des mots du jour, des mots douleur, des mots fièvre, des mots d’ardeur, des mots électriques.
Aussi des mots de feu, des mots lumière…
Des mots d’amour, mots de tendresse,
Des mots de douceur,
Mots de satin, mots de soie.
Papiers et plumes en mains, rudes ou lisses, les mots s’échappent, les paroles roulent, les phrases s’insinuent. Des maux se préparent, se glissent aux replis du corps qui peine et souffre dans la fournaise d’âpres malaises, tous forgés, par les mots.
Tant de mots épais, si lourds, si laids, si dérangeants,
Ou si petits, si frêles, si déroutants.
Parfois des mots si beaux, si grands, si puissants…
Les mots du cœur vivant,
Du vrai, du véritable enfant
Qui doucement, tranquillement,
Lettre après lettre, dessine
L'Idée, les stances du Verbe,
Du créateur de la ronde des mondes,
De la danse éternelle et infinie de La Vie.
Pour que les maux s’allègent, pour que les maux s’épuisent, que les corps s’illuminent,
La Vie nous invite, très simplement …
A accepter la pulsation,
A s’imprégner du rythme
Pour avec Elle,
A accepter la pulsation,
A s’imprégner du rythme
Pour avec Elle,
Joyeusement,
Apprendre la valse
Apprendre la valse
A trois temps…
Et danser…
Et danser…